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jeudi 25 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - - Marc Nicolosi... le pape de la voiture ancienne !!

Les amateurs de voitures anciennes lui doivent tout. 
Ce grand escogriffe à la gouaille parisienne avait sauvé du naufrage les voitures de nos grands-parents avant de créer le salon Rétromobile. 
Il est décédé à l’âge de 84 ans. C’est dans la ville qui l’avait vu naître le 3 décembre 1934 que Marc Nicolosi s’est éteint. 
Sa voix de stentor, son rire profond, son franc-parler et son cœur d’or dissimulé sous une forte carapace nous manquent déjà. 
 Les amateurs de voitures anciennes lui doivent tout. 
Ce grand gaillard, qui avait éveillé les consciences à la vieille bagnole, avait créé le salon Rétromobile où plus de 100.000 visiteurs continuent chaque année en février à communier à la passion dévorante de ces carrosseries sculptées à la main. 
Si sa grande silhouette s’était faite de plus en plus rare dans les allées de «son» salon, ce bon vivant s’accordait encore quelques sorties le samedi, près de la gare du Nord, pour déjeuner avec une bande de bugattistes autour de l’expert Stéphane Bonoron. Marc était une voix dans ce monde, une boussole, une pensée. Il éclairait toujours de sa faconde les déjeuners de l’Académie Bellecour, l’association de personnalités de l’automobile qui élit le meilleur livre automobile de l’année et dont il était l’un des membres éminents. 
Même si on ne lui faisait pas, Marc n’était pas du genre à rouler des mécaniques. François Melcion, son complice de Rétromobile, raconte que «Marc était un fédérateur. Il avait su faire partager à des milliers de gens sa passion». 
Le plus important pour lui était de transmettre le flambeau aux jeunes générations. C’est ainsi qu’il avait beaucoup œuvré au sein du club Bugatti pour faire entrer un public de jeunes passionnés. 
Les Bugatti auront été la grande affaire de sa vie. Les vraies. Celles des seigneurs de la course. Le Type 35 en particulier. Il possédait la sienne depuis 1962. Sa carrosserie avait longtemps revêtu les couleurs de l’artiste Sonia Delaunay. «Il n’était pas monomaniaque mais presque», raconte François Melcion tombé aussi dans la marmite Bugatti. 
Ensemble, ils ont écumé les routes de France et d’Europe, lunettes d’aviateur vissées sur la tête, au volant de leurs bolides de l’âge d’or de l’automobile. 
Rouler en Bugatti ne s’improvisait pas. Il fallait être démerde. Savoir régler le carburateur à pointeau ou démonter le moteur. «Nous avons parcouru plus de 100.000 km en Bugatti et nous sommes toujours rentrés à la maison, poursuit François. Sauf une fois en Italie où Marc a été obligé de laisser sa 43 sur le bord de la route. 
Je crois que son ego en avait pris un coup ce jour-là.» La mécanique, Marc avait dû l’apprivoiser. En 2015, à l’occasion de la célébration des 40 ans du salon Rétromobile, il nous racontait qu’il avait toujours préféré tremper ses doigts dans l’huile de ricin que de tenir une craie en main. À 17 ans, il s’échappe du lycée pour travailler dans un petit garage. «Seule la mécanique m’intéressait mais je n’y connaissais rien. J’ai appris sur le tas», disait-il. Malgré sa bonne volonté, Marc avoue parfois ses limites. «Le patron me demande un matin de changer un embrayage d’une voiture. Je tourne en rond sous la voiture. L’autre mécanicien voit le ménage et devine mon ennui. En quinze jours, il m’a enseigné le b.a.-ba de la mécanique.» 
À la suite d’une fausse manœuvre ayant entraîné l’incendie d’une 4CV, Marc est finalement invité à prendre la porte. Il met le cap sur la Côte d’Azur où son beau-père tient le garage Franco-Belge, à Villeneuve-Loubet. Dans cette France du début des années soixante où les familles rêvent de s’offrir les premiers appareils électroménagers, son beau-père rachète des voitures anciennes. Marc suit le mouvement. Avec Binda, Raffaelli et Pibarot, il crée bientôt une bande inséparable. «Nous passions nos journées à chercher des voitures. Un matin, on décidait de jeter notre dévolu sur tel ou tel village.» Leur technique parfaitement huilée les dirigeait à chaque fois au bistrot du village. «On disait que l’on venait pour la voiture ancienne.
 Presque à chaque fois, le cafetier répondait laquelle? 
La partie était gagnée.» C’est l’époque où Henri Malartre écume les campagnes à la recherche de voitures anciennes, principalement d’avant 1914. 
De leur côté, les quatre compères s’intéressent aux voitures des années 20-30. André Binda avait même créé le club 24-34. En 1967, Marc pose ses valises en Bourgogne, à Etrée, sur les terres de ses grands-parents où il a tant de souvenirs. Sur l’enseigne qui surplombe la clôture, on lit sur fond rouge «Garage du Collectionneur». Pas un seul automobiliste ne peut y échapper. Marc s’est installé en bordure de l’autoroute du Soleil, à la sortie Avallon, là où le ruban d’asphalte poursuit sa route sur la nationale 6. Il fait partie des pionniers à se spécialiser dans la restauration des anciennes. 
Au début des années 1970, tous les amateurs se retrouvent dans ce repaire bourguignon, à mi-chemin entre le garage et le musée. Les étrangers, eux aussi, sont de plus en plus nombreux à s’arrêter. Votre serviteur alors enfant y usera même ses culottes courtes sur la balançoire au fond du jardin. Alors adolescent, François Melcion obtient de ses parents une halte chez Nicolosi. 
Au milieu des trésors qui électrisent aujourd’hui les salles d’enchères, François déniche l’assise arrière qui manque à sa Citroën C4. «Tu as le permis?», lui demande Marc. «Non mais j’ai une voiture», réplique l’adolescent. Les deux hommes ne se sont plus jamais quittés. En 1974, Marc a deux activités: le garage et la location de voitures pour le cinéma. 
Devenu incontournable dans le microcosme de l’ancienne, Marc se retrouve embringué par Jean-Pierre Jouët, un des leaders des salons, dans le projet d’une exposition de voitures anciennes pouvant servir de tremplin au lancement de l’encyclopédie Alpha Auto éditée par Atlas. Année 1975: le salon s’installe pendant dix jours dans la gare désaffectée de la Bastille. Sollicitée, l’ASAVE, l’association qui organise les courses de voitures historiques en France, fournit le plateau de près de cent véhicules. L’exposition accueille 3000 visiteurs. L’année suivante, Marc renouvelle l’expérience mais, pour que la mayonnaise prenne, il a l’idée d’ajouter une dimension commerciale. Sans le savoir encore, il vient d’inventer Rétromobile. 
C’est ainsi que les marchands de pièces détachées, les brocanteurs, les clubs de marque s’invitent à la Bastille. Mais également les constructeurs soucieux de soigner leur héritage. François tient un stand pour Pégase, sa boutique de documentation installée rue de Saussure, à Paris. Il ne tardera pas à rejoindre Marc pour prendre en charge la location des véhicules pour le cinéma. De son côté, Marc se retrouve aspiré ans l’organisation de Rétromobile. Le Garage du Collectionneur ferme. D’année en année, Rétromobile grandit. Sans jamais perdre son aptitude à subjuguer, à surprendre et à faire rêver. Chaque édition apporte son lot de surprises. 
Chaque année, l’exposition de nouveaux véhicules témoigne du génie et de l’imagination d’un secteur automobile sans cesse en mouvement. En l’espace de quelques années, Rétromobile est devenu incontournable. Ce salon est un lieu de mémoire. Mémoires d’aventures humaines, culturelles et industrielles. C’est aussi le carrefour de toutes les rencontres. Un lieu fédérateur. À partir de 1981, les dévots de la voiture anciennes migrent à la Porte de Versailles. L’organisation se muscle avec l’arrivée de Thierry Farges. François seconde désormais Marc. Définitivement inséparables, les deux passionnées présentent des machines toujours plus rares, plus étonnantes, plus somptueuses. 
Ils passent l’année sur les routes à rencontrer les collectionneurs et à les convaincre de venir exposer leurs joyaux à Rétromobile. Au fil des ans, Marc démontre, avec le concours de son équipe, qu’il est un organisateur hors pair. Rétromobile fait même des petits avec l’organisation d’un «petit» salon dans le port de Cannes. «J’emmenais tous les exposants déjeuner à l’île de Lérins», nous racontait Marc. Promobile, la société organisatrice de Rétromobile, rachète le salon du jouet Toymania. Le travail sans jamais se prendre au sérieux. 
En 1994, Marc décide de céder Promobile à Hervé Ogliastro, un autre véritable passionné d’automobiles. Jamais à court d’idées, Marc avait aidé sa femme Isabelle à ouvrir en 1987 la Galerie Vitesse chargée de promouvoir les artistes peintres, dessinateurs, sculpteurs et photographes cultivant un goût certain pour l’automobile et la locomotion au sens large. En 2014, Rétromobile avait rejoint le hall 1 du parc des expos de la porte de Versailles, le plus prestigieux. Le rêve de Marc était exaucé. Aujourd’hui le monde de la voiture ancienne pleure la disparition d’un seigneur. Marc rejoint Roland Urban, un autre pape... mais de la Jaguar, décédé en 2016. Nous adressons nos sincères condoléances à sa famille, sa femme Isabelle et ses enfants, Anne, France et Baptiste.
Source : lefigaro.fr -

CLUB5A - LE TOP 30 DES VOITURES - LES PLUS INSOLITES DES SERIE TELEVISEES.....


Les grands constructeurs automobiles ont fabriqué des voitures de série avec un look sortant des standards habituels...en voici le top de 30 modèles !!
On trouve de tout sur Internet, c’est également valable en matière d’automobiles. Nous passons en revue les voitures les plus insolites du web..... 
Source : JekDude

mercredi 24 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Le LAB..........cinquante ans au service de la sécurité de l’automobiliste !!

Financé par PSA et Renault, cet organisme de recherches et d’innovations en matière de sécurité routière fête son cinquantenaire. Voyage au sein de cette structure unique en Europe. Avant que l’administration ne s’empare de la sécurité routière, les constructeurs s’occupaient déjà de rendre les voitures plus sûres. Ainsi, le LAB, financé par PSA et Renault, fête aujourd’hui ses cinquante ans. Cet organisme méconnu et unique en Europe (il est le fruit d’une association de deux constructeurs sur un domaine non concurrentiel) nous a ouvert ses portes. 
Créé en 1969 par Claude Tarrière, un médecin, il rassemble une vingtaine de spécialistes aux compétences complémentaires: ingénieurs, médecins, chercheurs, accidentologues, psychologues du comportement, analyseurs de données, experts en biomécanique, ou encore experts en ergonomie cognitive. En cinquante ans, le LAB a effectué 642 publications scientifiques, a été à l’origine de 30 thèses, et a reçu 8 récompenses internationales. «Le LAB, c’est cinquante ans de savoir-faire fondé sur l’observation, l’analyse et l’anticipation», résume Stéphane Buffat, le directeur du LAB, dont le nom complet est Laboratoire d’accidentologie, biomécanique et d’études du comportement humain. 
Ces recherches sont souvent à l’origine des progrès technologiques développés par les constructeurs, qui ont joué un rôle majeur et tangible dans la chute de la mortalité routière. Depuis 1973, le risque d’être tué en voiture a été divisé par cinq, les blessures graves ont diminué de 40 % chez les conducteurs et de 15 % chez le passager avant. «Un véhicule produit aujourd’hui permet de réduire la gravité des accidents de 30 % par rapport à un véhicule conçu il y a vingt ans», estime le LAB, qui vient de fournir «78 scénarios de situations critiques de la vie courante à prendre en compte pour la validation de la sécurité des véhicules fortement automatisés». 
La voiture autonome est déjà décortiquée par les spécialistes de Nanterre (siège du LAB), et ils planchent sur les futures innovations en anticipant leur arrivée. L’Advanced eCall sera un atout majeur pour adapter, ajuster et mieux qualifier les besoins en ­termes de soins et de secours, en coordination avec les plateformes d’urgence Ils évaluent au-jourd’hui l’Advanced eCall, une évolution perfectionnée de l’eCall (pour «emergency call»), technologie embarquée obligatoire depuis avril 2018. L’eCall déclenche automatiquement un appel de détresse auprès des services de secours à la suite d’un choc, et envoie la position GPS du lieu du sinistre (20 % des accidents mortels sont isolés), l’heure, le type de véhicule et le type de carburant. 
Ce dispositif de sécurité permet aux secours de mieux profiter de ce que les sauveteurs nomment la «Golden Hour», la première heure après l’accident. L’Advanced eCall va beaucoup plus loin. Ce nouveau système détecte en plus le type de collision, le nombre de personnes impliquées (ceinturées ou pas), la position du véhicule, un éventuel incendie ou une possible immersion. Il intégrera la cotation d’Euro NCAP dès 2022. «L’Advanced eCall sera un atout majeur pour adapter, ajuster et mieux qualifier les besoins en termes de soins et de secours, en coordination avec les plateformes d’urgence», estiment Cyril Chauvel, directeur adjoint, et Franck Leopold, tous deux accidentologues. La voiture connectée est l’autre chantier d’importance pour le LAB. 
Les experts l’évaluent au travers de SCOOP, un projet public fondé sur l’échange d’informations entre véhicules connectés et entre le véhicule et la route. Il devrait permettre, notamment, d’améliorer la facilité d’utilisation de ces systèmes (interfacehomme-machine) ainsi que leur intégration dans le navigateur du véhicule. SCOOP préfigure également le projet InDid (Infrastructure digitale de demain), qui lui fera suite. Concrètement, ce dialogue entre machines augmentera la sécurité des véhicules en mouvement par un échange instantané d’information, à la manière de ce qui existe déjà dans le contrôle aérien. 
«Nous avons élaboré une méthode unique de recueil des données en conditions réelles auprès de 50 utilisateurs et 10 experts automobiles sur six mois», précisent Laura Bigi, responsable de la synthèse accidentologie, et Arnaud Koustanal, psychologue spécialisé dans le comportement des conducteurs. Mais il n’y a pas que les automobilistes qui bénéficient des travaux du LAB. Les piétons, mais aussi les cyclistes, les deux-roues motorisés et ce que l’on nomme les «nouvelles formes de mobilité» (trottinettes, skate-board, gyropode, gyroroue) en profitent aussi. «Notre activité de re-simulation est unique en France! 
Depuis le milieu des années 1990, nous recréons virtuellement une cinquantaine d’accidents chaque année», expliquent les accidentologues Henri Chajmowicz et Philippe Lesire. «Comme j’aime les acronymes, dit ce dernier, je préconise la règle des trois P: prévention, protection, prévenance.» Elle pourrait résumer l’activité du LAB. Après une visite de ses installations, vous ne verrez plus de la même façon votre voiture. 
Dates clés :
• 1973 Début des travaux en biomécanique avec utilisation de mannequins et reconstitution d’accidents. 
 • 1983 Première campagne d’essais avec des sièges d’enfants. 
 • 1996 Mise en place d’une base de données européenne commune. 
 • 2007 Participation à une étude mondiale, regroupant constructeurs et équipementiers, sur la modélisationde l’être humain.
Source : lefigaro.fr 

mardi 23 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Ce constructeur anglais ressuscite un van mythique de 1948 en version électrique

Inspiré par un ancien modèle datant de 1948, le constructeur britannique Morris reviendra en 2021 avec ce van électrique "old school" qui peut rouler 320 kilomètres avec une seule recharge. Retour en 1960. Dans les années 1950, le van Moris J-Type était très prisé des artisans-commerçants pour se déplacer et promouvoir leur business. 70 ans plus tard, ce même modèle a servi d’inspiration aux nouveaux designers, qui relanceront la fabrication de ce véhicule en version 100% électrique. La marque, désormais baptisée Morris Commercial depuis son retour en 2017, a présenté le futur van lors d’un événement au Design Museum de Londres. Et comme vous pouvez le voir, on remonte dans le temps en quelques secondes.
 70 000 euros. Morris en a profité pour donner quelques détails sur le futur bolide : la carrosserie sera en fibre de carbone pour contenir le poids du véhicule et son volume utile atteint les 5,5 m³. La batterie lithium-ion affiche une capacité de 60 kWh et selon le constructeur le van pourra rouler sur plus de 300 kilomètres avec une recharge. 
Le point déjà négatif reste son prix : 70 000 euros. Et puis il faudra apprendre à conduire avec le volant à droite.
Source : detours.canal.fr/

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA DAUPHINE CABRIOLET !

La Renault Dauphine est un modèle automobile qui a été fabriqué par Renault dans l'usine de Flins (Yvelines) à partir de mars 1956 jusqu'en 1967. La voiture fut conçue par le bureau d'études Renault dans les années 1950 pour épauler la 4CV. Cette voiture fut la plus vendue en France de 1957 à 1961 et la première voiture européenne fabriquée en Argentine (1960 - 1970). Au Brésil elle a été fabriquée par "Willys Overland do Brasil" de 1959 à 1968. Toutefois, Renault connut un échec lors de sa commercialisation aux États-Unis en négligeant trop la qualité de fabrication, les services après-vente et la disponibilité des pièces détachées.
Ci-dessous une Dauphine cabriolet  "relookée" pas un carrossier ....pourquoi pas !!
 
Source : chaine historique

lundi 22 avril 2024

CLUB5A - LES VOITURES ANCIENNES ONT LA COTE MAIS EST-CE VRAIMENT UN BON INVESTISSEMENT ?

Les voitures anciennes ont la cote ! 
De la Ford Mustang au Combi Volkswagen en passant par la mythique 2CV, on compterait plus de 800 000 véhicules de collection sur les routes françaises. 
Mais ce loisir n’est pas seulement réservé aux plus aisés. 
On peut trouver des voitures de collection à partir de 2000 euros. Mais est ce un bon investissement ?
Source : La Quotidienne


CLUB5A - REPORTAGE AUTO - ILS SONT OUF CES ITALIENS !!


Une 2CV vous dépasse à plus de 280 km/heure... Je vous dit pas la tête  des flics derrière leurs jumelles !
Pas de souci, vos sens ne vous trahissent pas...
Quelques fêlés ont fait le pari de monter la carrosserie d'une fourgonnette 2CV sur un châssis de Ferrari 355...  
Le résultat est très impressionnant !  
Ceci dit... le moteur n'est pas celui d'origine, à refroidissement à air, sous le capot... mais placé à l'arrière évidemment !
6 photos ci-dessous pour voir la métamorphose de cet engin de fous !  ....C'est le résultat de 5 ans de travail de quelques italiens.  
Une deudeuche qui atteint les 290 km/h.  
 Un bémol toutefois... son prix : pour une FERRARI 355 d’occase, comptez 90 000 EUR
+ une fourgonnette 2CV en bon état environ 3 000 EUR
+ la transformation (5 ans de travail de passionnés acharnés)  ajoutez environ 47 000 EUR
Pour 140 000 EUR... y a plus qu’à faire le chèque et elle est à vous !
Source : SellerieCimes

dimanche 21 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - VOITURES ET MOTOS D'ANTAN DANS LE MAINE ET LOIRE...



Grand prix rétro du Puy-Notre-Dame a rassemblé de nombreuses voitures et motos d'avant guerre...
C'était l'occasion de revivre les courses comme à l'époque sur les circuits d'avant guerre. Lors de cette rétrospective, le chronomètre était bien rangé. Seuls les pilotes sévissaient par catégorie dans la petite commune de 1300 habitants. 
Un rendez-vous qui a attiré beaucoup de spectateurs, amoureux des belles mécaniques en tous genres.
Source : pays-de-la-loire.france3.fr

samedi 20 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - LES VOITURES CLASSIC DE 1940 A 1950 !!

L'univers des voitures de collection des années 40 et 50. 
Tel est la rencontre que nous propose cette vidéo. .. Aujourd'hui les voitures ne sont pas drôles et manquent de beauté. Il y a pour certains de la nostalgie des "années folles". Il y avait un plaisir de conduire qui a disparu car trop de voitures de nos jours. 
Le bruit du moteur, à cette époque, était exceptionnel...... 

Source : 11094DEREK

vendredi 19 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Quand les voitures françaises dominaient le monde !!

Au milieu du XIXe siècle, les progrès réalisés dans le domaine des machines à vapeur incitent certains à se pencher de nouveau sur les véhicules routiers. 
Dans la logique des choses, c'est en Angleterre, pionnière dans le développement des chemins de fer, que l'automobile à vapeur prend son essor. Néanmoins, le décret de 1839 limitant la vitesse à 10 km/h pour les diligences à vapeur ainsi que le « Locomotive Act » imposant aux véhicules automobiles d'être précédés d'un homme à pied agitant un drapeau rouge mettent un terme à son développement outre-Manche. 
 C'est donc en France que l'automobile à vapeur reprend son cours. Parmi les plus fameuses adaptations de la propulsion à vapeur, il convient de signaler celles d'Amédée Bollée qui commercialise en 1873 la première véritable automobile à vapeur, un véhicule appelée L'Obéissante capable de transporter douze personnes à une vitesse de pointe de 40 km/h. 
Bollée conçoit ensuite, en 1876, un omnibus à vapeur dont les quatre roues sont motrices et directrices, puis en 1878 une voiture appelée La Mancelle plus légère (2,7 tonnes) que son premier modèle, qui dépasse facilement les 40 km/hTC 3. Présentes lors de l'exposition universelle de 1878 à Paris, ces deux voitures sont classifiées avec le matériel roulant ferroviaire.
Cette exposition permet au public et à plusieurs industriels de découvrir pleinement ces nouveaux engins. Les commandes affluent de toutes parts, d'Allemagne tout particulièrement où une filiale Bollée voit même le jour en 1880. 
Bollée part alors à la conquête du monde et présente ses modèles de Moscou à Rome, de Syrie en Angleterre (1880-1881). Un nouveau modèle est lancé en 1880, dénommé La Nouvelle, pourvu d'une boîte de vitesses à deux rapports et d'un moteur à vapeur de 15 ch. 
En 1881, le modèle La Rapide de six places pouvant atteindre 63 km/h est présenté. D'autres modèles suivront, mais la propulsion à vapeur s'avère une impasse en matière de rapport poids/performance. Bollée et son fils Amédée expérimentent bien une propulsion à l'alcool, mais c'est finalement le moteur à explosion et le pétrole qui s'imposent. 
 Tricycle Serpollet. À la suite des progrès des motorisations, certains ingénieurs cherchent à réduire la taille de la chaudière. C'est ainsi qu'à l'occasion de l'exposition universelle de Paris de 1889, le premier véhicule à vapeur à mi-chemin entre l'automobile et le tricycle, développé par Serpollet-Peugeot, est présenté. Ce progrès notable est notamment dû à Léon Serpollet qui met au point la chaudière à « vaporisation instantanée ».
 Il obtient par ailleurs sur le véhicule de sa propre conception le premier permis de conduire français. 
Son châssis mais surtout l'utilisation qu'on lui consacre à l'époque expliquent que ce tricycle soit généralement considéré comme une automobile. Mais malgré l'ensemble de ces prototypes, l'automobile n'est pas encore réellement lancée ; il 
faudra pour cela attendre la généralisation d'une innovation des années 1860, qui va bouleverser le cours de l'histoire de l'automobile : le moteur à explosion. 
  Source : Pandemonium Lig

jeudi 18 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - AUTOMOBILES DE 1951 A 1960 ...

L'industrie automobile est très développée dans le monde occidental de 1950 à 1960. Elle s'appuie sur un réseau d'entreprises industrielles (les constructeurs automobiles) dont les fleurons sont de dimension internationale. Mais, malgré leurs difficultés pour rester compétitives, de petites sociétés marginales, souvent spécialisées, peuvent encore se rencontrer. Nombreuses sont celles qui ont cependant disparu au fil de l'histoire de l'automobile, imprimant parfois durant leur existence des évolutions esthétiques ou techniques majeures ou du moins mémorables.
Sourse : okdaccord49

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - LA 2CV AUX MULTIPLES VISAGES ...


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA CITROEN CX ...LE GOUT DE L'HYDRAULIQUE !!

 

Comment j'ai roulé en Citroën CX presque gratos....
La CX représente beaucoup pour moi, mon père en a possédé 2 lorsque j'étais enfant, et comme tous les enfants, j'ai vomis dedans. Je l'ai longtemps détesté cette satanée bagnole. d'abord je la trouvais moche, puis au fil des années, ringarde et démodée. Mais force est de reconnaitre qu'avec le recul, j'ai fini par l'aimer. Elle m'a donné le goût de l'hydraulique, la passion pour la marque Citroën et l'intérêt pour les mécaniques atypiques. Je ne vais pas vous parler de mon enfance ici, ni des CX de mon père, mais d'une anecdote qui m'est arrivé autour de ce modèle maintenant recherché. La bonne occase! 
 L'histoire se passe au début des années 2000 alors que je travaille en tant que réceptionnaire atelier dans un centre auto sur la côte d'azur. Je vois passer plein d'autos banales, et de temps en temps une qui sort du lot, comme cette CX GTI Turbo qui vient pour une vidange. Je donne mon numéro de téléphone au gars au cas où il s'en séparerait un jour, qui sait? Il m'avoue qu'on lui a donné et que pour le moment, elle le traine d'un point A à un point B... Il s'en va et je ne reverrai plus la voiture au centre auto. 
Un autre jour, c'est un autre client habitué qui vient me voir, un dépanneur qui nous prend de temps en temps des pièces pour réparer les autos de ses clients. Ma réputation d'amateur de vieilleries commence à se diffuser dans le coin, on vient régulièrement me voir pour parler "anciennes". Le gars me confie qu'on lui a dit que j'aimais les vieux machins: "Salut, il parait que tu serais intéressé par une DS que je viens de rentrer au garage? 
Je dois faire du vide, ça te dis? J'en veux pas cher".. Alors qu'intérieurement je suis en mode "Youpi c'est la fête", je prends mon air blasé et lui dit que bof pourquoi pas, faut voir quoi… Je prends néanmoins vite rdv pour aller voir la DS après le boulot.
 Arrivée sur place, la DS est en fait une CX… Passé un petit moment de déception, j'étudie la voiture en question. Une CX 2000 de 1978 première main avec le bon de commande et la facture d'origine dans la boite à gants. Celle-ci mentionne "CX 2000 Confort", c'est à dire la bas de gamme, mais avec 3 options intéressantes, la DIRAVI (direction assistée à rappel asservi), la peinture métallisée et le toit ouvrant électrique. Le vendeur m'a prévenu, la "DS" a une fuite hydraulique, il veut pas s'en occuper. J'avais prévu une batterie, une paire de câbles et un bidon d'huile 15W40 premier prix. Je branche les câble à la batterie, je donne un coup de démarreur, la voiture ne monte pas. 
Je remplis le bocal de LHM avec la 15W40 (si si ça marche, ça coute moins cher, mais il faut de l'huile minéral absolument), ça ira bien pour trouver la fuite. Après un coup de clé de 12 sur le conjoncteur pour amorcer la pompe, la voiture monte et laisse entrevoir une fuite sur la pieuvre. La voiture est négociée 100 balles! Je l'assure, rentre chez moi, commande la pieuvre dans le garage Citroën dans lequel j'avais bossé, mon pote Gérard qui connait les références par cœur ne se trompe pas de modèle en la commandant. Après une révision sommaire, l'auto passera son CT sans problème. Je lui trouverai même un paire d'appuis tête de la bonne couleur et du bon tissu complétement par hasard en m'arrêtant dans un vieux garage qui fait de l'ancienne, au culot!
 Il ne restait plus que ça comme pièces au mécano qui en avait eu une étant jeune! Une chance inouïe! Je la conduirai quelques temps, même en rallyes historiques, sans jamais rencontrer le moindre problème et finirai par la revendre sur eBay à un allemand qui recherchait ce type d'auto. 
Un peu plus de watts? Quelques temps après, je déménage pour la région Aixoise, ma Provence natale. Un jour, je reçois un coup de téléphone. "Allo, Mr Xavier?? Vous voulez toujours récupérer ma CX?" J'hallucine, le retour de la GTI Turbo! "Comme on me l'a donnée, je vous la donne à mon tour, on vient de me donner une autre auto." Surprenant!, mais j'accepte évidemment. Je retourne sur la côte récupérer cette brave CX qui souffre d'un entretien négligé, mais dont le moteur ronronne… Presque. En effet, l'auto "coupe" dès qu'on appuis dedans. 
C'est assez frustrant pour ce moteur turbo réputé pour son souffle! La commande de boite est désastreuse et les suspattes raides comme du bois. Après avoir changé la tringlerie de boite, les sphères et la bobine d'allumage, l'auto a retrouvé sa douceur d'utilisation à en faire oublier sa peinture complétement fanée. Je revendrai aussi cette auto et comme l'autre, je la regrette aujourd'hui! Mais c'est comme ça. Laissez vous tenter La CX, si vous aimez les bagnoles et que vous n'en avez jamais conduite, foncez prendre le volant de l'une d'entre elle à la première occasion.
 C'est une auto tellement particulière. Certains diront, "on adore ou on déteste". C'est pas faux, mais ceux qui ont roulé avec plus longtemps qu'un simple essai, l'adoptent généralement au point de ne plus jamais vouloir s'en séparer. Sa DIRAVI ultra douce et directe qui revient toute seule au point central, sa suspension hydraulique, ses freins puissants, son chassis séparé de sa caisse montée sur silentblocs, sa géométrie avec sa voie avant bien plus large que sa voie arrière, son assise basse et tous ses autres détails qui en font une vraie Citroën! 
Plus aboutie et plus équilibrée qu'une DS, un peu plus technique et moderne aussi, c'est un véritable tapis volant inépuisable qui vous permettra d'appréhender de longs trajets sans jamais éprouver de fatigue! Une auto aux sensations au dessus du lot par rapport à ces rivales, précise, confortable, silencieuse et dont la conduite ne souffre d'aucune vibration. Grace à son exceptionnel châssis, la CX aime être conduite rapidement, c'est une véritable GT familiale, même avec les moteurs les plus lymphatiques de la gamme. Un paradoxal mix de confort absolu et d'efficacité redoutable! Les versions GTI et GTI Turbos sont évidemment les plus enviables avec leur agrément moteur supérieurs, sans oublier les Turbo Diesel qui furent un temps parmi les meilleurs du marché avec même un record de vitesse pour la Turbo 2 avec un honorable 192km/h. 
Alors, si j'en rachèterai une un jours? 
Bien sûr que oui! 

Source : histo-auto.com-
Passionnément Citroën